23/10/2010
retraites : ma grève
12 Octobre 14 heure, je me dirige vers la place Denfert-Rochereau d'où doit partir la manifestation contre le projet gouvrnemental des retraites. Je croise avant d'y arriver un stand du parti socialiste, puis celle du NPA(ou NPTA, je ne me souviens plus très bien). J'ai honte de trouver côte à côte, des partis politiques avec des syndicats. La France, dont de nombreux ressortissants, se gaussent d'avoir connu tôt; ce que beaucoup d'autres pays ne connaissent pas encore actuellement : la séparation de l'église et de l'état; n'a pas fait ce que de nombreux pays ont fait depuis longtemps : la séparation des syndicats et des partis politiques. Hier, alors que j'étais en réunion avec des adhérants CFDT, j'ai pris la parole pour dire la dérive politique d'une telle grève. On peut bien sûr demander pour des raisons syndicales, les meilleurs conditions pour les retraités, mais le budget qui permet de le mettre en oeuvre, est l'affaire de tous les français, donc des politiciens, pas des syndicats. Mon discours qui dénonce cette dérive est mal reçu par les collègues CFDT, plus particulièrement par les permanents syndicaux; et ce n'est pas le premier du genre que je tiens. Les uns répondent que le syndicat ne fait pas de politique, sans apporter aucun argument, les autres répondent qu'il est normal que le syndicat fasse de la politique, sans non plus apporter le moindre argument. Leur conviction leur semble si évidente, que mon propos les agace sans toutefois les déranger; et ils ne se rendent même pas compte qu'ils avancent des convictions sans argumenter. En fait, il ne me répondent pas, et ne s'en rendent pas compte.
Comme il n'y a aucun syndicat qui fasse une vraie proposition syndicale pour les retraites, puisqu'ils se complaisent dans une relation incestueuse à la politique : moi j'en fait une. Il faut dire oui à la retraite à 67 ans, car c'est un problème de budget ! Mais en ne disant que cela, je n'ai pas constitué une proposition syndicale. Chacun sait que le problème c'est le nombre insuffisant de cotisants. Il est insuffisant aujourd'hui, et on peut penser qu'il sera encore plus insuffisant demain, du fait de l'évolution démografique. Mais l'évolution démographique ne conditionne pas directement la pénurie de cotisant. Il y a l'augmentation de l'espérance de vie qui est le paramètre probablement le plus important, aussi l'augmentation de l'âge de la retraite semble inévitable. Mais juqu'à quel point et à quelle vitesse ? Si on créait des emplois en France, on augmenterait le nombre de cotisants, et on pourrait ne pas augmenter aussi vite l'âge de la retraire. Mettons que la retraite se prenne à 67 ans en 2030 si aucun emploi n'est crée. Il faut négocier un accord dans lequel, cette retraite ne serait que 66 ans, si on crée un nombre d'emploi suffisant pour créer assez de cotisations, peut-être un ou deux millions. De même, l'âge pourrait être ramené à 65 ans, si on crée un ou deux millions d'emplois supplémentaires, et ainsi de suite. Cette propostion ne fait pas rêver, mais elle a le mérite de concilier un impératif comptable(assez de cotisants) avec un besoin syndical(obtenir de bonnes retraites). Surtout elle est structurante pour la société. En effet, elle indique le chemin à prendre pour avoir de bonnes retraites. Elle somme chacun; parti politique, syndicats, électeurs et travailleurs, de prendre les initiatives, les responsabilités qui conviennent pour créer des emplois. Et ainsi, outre qu'elle donne l'espoir d'une retraite suffisante, elle motive chacun pour s'atteler à créer des emplois. Et si il n'y a pas d'argent pour les retraites en 2030, ça devient la responsabilité de tout le monde, puisque personne n'aura su crée les emplois nécessaires. Car l'emploi, c'est l'affaire de tous. C'est l'affaire des hommes politiques, qui prennent les décisions les plus importantes, c'est l'affaires des syndicats qui créent les conditions d'une paix sociale, c'est l'affaire des électeurs et des travailleurs qui élisent les uns, adhérent aux autres, et agissent au quotidien.
Le syndicalisme ainsi pensé, peut sembler mesquin; mais il est structurant. Il structure la société civile autour d'un projet : créer des emplois pour financer les retraites. Le syndicalisme de ce type génère ainsi de l'autorité, en assigant à chacun une tâche et un devoir. C'est une autorité morale bien sûr. Et l'autorité morale est la plus haute des autorités, elle commande les autres. Il est faux de croire que l'autorité dans la société serait le monopole des partis politiques(plutôt de droite), ou des administrations, police et la justice(plutôt de gauche). La valeur première dans notre société, c'est le travail. Lorsqu'on parle de quelqu'un en se demandant ce qu'il est ou bien ce qu'il fait, on désigne l'emploi qu'il occuppe, le travail qu'il fait, les responsabilités sociales ( presque toujours professionnelles) qu'il a. Le travail est la valeur première de notre société, ce n'est ni l'argent ni la jeunesse, la beauté, l'intélligence, les diplômes, la culture, la nationalité, comme certains le croient. Ainsi les syndicats qui régulent les problèmes des hommes au travail, doivent-ils être prescripteur de valeur pour la société toute entière. Ce n'est pas le cas aujourd'hui. Le syndicalisme en France actuellement se confine dans une position agitatrice et destructurante. Il se complet dans l'anarchie et l'irresponsabilité. Le syndicalisme ne cherche pas à participer à l'autorité dont toute société humaine a besoin, mais elle la combat. Le syndicalisme français trouve même sa justification dans l'opposition à l'autorité politique. Il en résulte un pays qui doute, pessimiste et agressif. Il en résulte un taux de syndicalisation parmi les plus faible du monde développé.
Je crois que tout pays dont les partis politiques, les syndicats et la population veulent créer des emplois y arrivent. Je crois donc qu'il y a une solution pour les retraites. On peut en même temps corriger des inégalités. La plus évidente dans l'excés semblent les retraites spécifiques dont les métiers n'amènent même pas à mourrir plus jeunes, mais aussi les surretraites pour les fonctionnaires dans les DOM-TOM. La plus évidente dans le défaut c'est le temps partiel.
03:20 Publié dans politique, syndicalisme | Lien permanent | Commentaires (0)
23/03/2010
les syndicats refusent le syndicalisme
Je regarde la chaîne parlementaire LCP, un reportage sur le syndicalisme au Danemark. L'enquête montre qu'un syndicalisme qui fonctionne bien produit un pays riche, égalitaire, heureux; elle oppose les 80 % de syndiqués Danois aux 8% de syndiqués français; elle oppose le bien-être danois au mal être français, elle oppose le bon fonctionnement du lien social produit par les syndicats danois à la mauvaise qualité du lien social français produit par les syndicats français. Mais ce reportage ne propose aucune explication de ce qui semble un mystère, elle n'énonce même pas l'exigence de cette nécessité. Je n'ai d'ailleurs jamais entendu un seul commentaire sur les médias qui concerne le malaise syndicale français et sur les voix qui permettraient d'en sortir. J'entends même bien souvent que le syndicalisme est sans avenir, en perte de vitesse partout dans le monde; ce que contredit pourtant fortement ce reportage.
Il est certain que beaucoup d'avantages ont été acquis, beaucoup de lois votées pour protéger les employés, que les juges interviennent de plus en plus souvent; pourtant le syndicalisme est encore utile et ce malaise appelle des commentaires et des solutions. Comme je n'ai encore rien entendu de convainquant, de cohérent, et de complet, je vais essayer d'énoncer moi-même quelques remarques, évidences, constats, critiques et suggestions. Bien que je ne sois ni un syndicaliste professionnel, ni un politicien professionnel, ni philosophe ou juriste, devant la faiblesse manifeste des commentaires face à l'importance du sujet, je ne peux pas faillir dans cette démarche; car l'état actuel du débat sur le syndicalisme est une faillite permanente. Tout au plus, mes remarques seront améliorables.
Le plus simple pour parler véritablement du syndicalisme, puisque je n'ai pas le temps ni la compétence de l'étudier soigneusement, c'est de parler de mon expérience, et des réflexions qu'elle m'inspire. Je travaille depuis plusieurs années comme facteur à la poste, et j'ai rencontré comme tous mes collègues de nombreux problèmes que j'ai essayé de résoudre sans souvent beaucoup de succés, pendant longtemps je n'ai pas été syndiqués, leur aspect contestataire, polémistes, sectoriels, partisans m'agaçait. Puis j'ai adhéré trois ans à la C.G.T., je suis maintenant adhérant depuis plus d'un an de la C.F.D.T.. J'ai discuté avec des permanents syndicaux de d'autres syndicats. C'est presque toujours la déception, l'agacement, l'ennui, le découragement ou la colère qui me gagnent. Pourtant je ressens toujours le besoin du syndicalisme : comprendre et exprimer les souffrances et les peurs collectives, tout en y incluant les miennes me fascine et m'enrichit. Pour continuer, je vais prendre des exemples pratiques que j'ai vécu. Sur lesquels j'ai réfléchi, agit, été ému.
Le temps de travail est un des principaux sujet du syndicalisme. Pour moi actuellement c'est le plus important. J'ai donc dans ce but discuté avec plusieurs syndicats sur les réponses syndicales à faire à la situation actuelle, dans laquelle je fais de plus en plus d'heure qui ne me sont plus payées, actuellement, je dépasse les 100 heures par ans, et c'est en augmentation. Je demande donc au syndicat auquel je suis adhérant mais, aussi à plusieurs autres, s'ils veulent bien faire installer une carte de pointage au bureau dans lequel je travaille. Tous les syndicats que j'ai consulté ont refusé. Or, refuser d'agir pour un droit aussi élémentaire, c'est refuser de faire du syndicalisme. Je ne me décourage pas et propose une deuxième solution, moins rapide, moins certaine quand au résultat, encore efficace: faire des procés devant les tribunaux. Les syndicats refusent. Certain syndicats proposent sans conviction une négociation tout en sachant que ça n'aboutira pas, d'autres me proposent une grève, qui ne donnera aucun résultat. Les syndicats ne veulent décidemment pas faire de syndicalisme.
Les cadres à la Poste deviennent de plus en plus agressifs envers les facteurs et les employés, lors d'une réunion syndicale, une adhérante soulève le problème en décrivant par le menu détail le harcèlement qu'elle subi; pour bien montrer qu'il ne faira rien, le permanent syndical me dit :"C'est trés difficile de prouver le harcèlement moral", ce qu'il faut comprendre comme : "Je ne fairai rien"; car il n'est pas plus nécessaire de voir un juge ou de faire grève pour commencer à faire du syndicalisme. Il convient de mettre de constater publiquement(c'est à dire s'adresser au personnel concerné) sur des abus, des souffrances sur des cas réels qui sont véus au quotidien. C'est déjà un premier pas, que les syndicats ne font pourtant pas. C'est ce que je fais dans mon bureau lorsque le chef de centre agresse moralement les collègues, et ça change l'ambiance de travail: on respire !
La quantité de travail augmentant et moi vieillissant, j'en viens à être fatigué, et en retard; je fais ma tournée avec un vélo, or, il existe des vélos à assistance électrique, ce qui me fairait gagner du temps et de la fatigue. Pour s'en procurrer un il faut obtenir une dérogation médicale obtenue après un entretien avec un médecin de la Poste, si ce dernier veut bien l'accorder. Or moi, je ne me concidère pas comme malade, je suis persuadé d'être en bonne santé, simplement je serais soulagé du fait du vieillissement et de l'augmentation de la charge de travail, je suis conforté dans cette idée, lorsque sur Demain.tv, j'entends un représentant de la Halde(haute autorité pour la lutte contre les discriminations et pour l'égalité professionnel) déclarer qu'avec l'augmentation de la durée de cotisation pour les retraites, de plus en plus de ségnors sont en difficulté pour travailler car les entreprises françaises ne font aucun effort pour aménager les conditions de travail face au vieillissement. Je cite donc cet argument devant les deux permanants syndicaux avec qui je travaille; l'un comme l'autre m'écoutent sans comprendre ce que je leur raconte, et me parlent eux aussi de visite médicale. Il est bien évident que dire qu'il faut adapter les conditions de travail et donc fournir des véhicules à assistance électrique aux seignors qui le demande c'est faire du syndicalisme, et c'est hors de question pour un syndicaliste.
Les mutuelles de santé sont une maladie françaises. Un assurance en effet sert à payer des frais exeptionnels et élevés, pas des frais ordinaires d'un faible montant, ce qui est pourtant le cas. Il est bien naturel que le syndicat auquel je suis inscrit cherche à obtenir le paiment de la mutuelle par l'employeur. Pour ma part, je n'ai aucune mutuelle, et c'est autant d'argent économisé. Je lui ai dit au délégué syndicale que ça ne m'interessait pas une mutuelle, même gratuite, mais bon, comme le syndicalisme, il s'en fout, il ne m'a pas écouté.
Il y a dans le bureau où je travail, des pannaux d'affichage syndicaux, ils servent généralement à afficher les revendications et les propos des syndicats, c'est à dire qu'ils ne servent généralement à rien. Je décidais donc il y a quelques années de m'en servir, j'ai adhéré au syndicat C.G.T. pour afficher une revendication locale; bien sûr le syndicat a fait ce qu'il fallait pour m'en dissuader; le seul collègue qui s'occupait de syndicalisme dans l'établissement n'a rien fait pour m'aider, quant au chef d'établissement, elle a tout fait pour m'en dissuader. Plus tard, à l'occasion de travaux qui ont eu lieu dans l'établissement, elle a fait accrocher pas les ouvriers d'entretien les pannaux syndicaux trop haut pour qu'on puisse les lire. Depuis plus de trois que dure cette situation aucun syndicat n'a rien fait pour descendre les pannaux. Faire cette démarche, ce serait faire du syndicalisme ce qui n'est pas admissible pour un syndicat. Recemment j'ai demandé à mon syndicat l'autorisation de porter sur le panneau syndical, le nom et le nombre d'heures supplémentaire non payées par la direction, celui-ci a refusé; alors j'ai demandé à un autre qui m'a autorisé à le faire tout en me dissuadant de le faire, en me disant :"ça ne servira à rien !". Il est bien certain que pour un syndicat français, exposer publiquement et avec précision la malhonêteté de la direction, préciser l'indignation et la spoliation des facteur, ce n'est pas util puisque c'est faire du syndicalisme.
Il est un problème récurrent depuis dix ans que je travaille dans cet établissement c'est celui du parking. Cellui-ci sert à la fois à garer les véhicules professionnels mais aussi les véhicules personnels. Or il n'y a pas assez de place pour toutes les voitures. Du coup, les employés du bureau qui doivent untiliser des véhicules de la Poste pour travailler sont gêné, stressé ou ralenti par cet encombrement. Aucun syndicat n'a fait quoi que ce soit pour changer la situation, ce qui est tout à fait normal, puisqu'il ne peut être question de faire du syndicalisme pour un syndicat.
Aprés que nous ayons signé une négociation lors de la dernière réorganisation du bureau, il était prévu un comité de suivi dans lequel se réunissent les syndicats signataires et la direction pour discuter et résoudre les problèmes posés par la nouvelle organisation. Il ne s'est bien sûr pas réuni, pourtant j'ai insisté auprés de mon syndicat pour avoir ces réunion, cellui-ci a refusé fermement, alors même que son secrétaire départemental m'avait a de nombreuses reprises avant la signature promi que le comité de suivi se réunirait. Mais pourquoi réunir ce comité de suivi puisque ce serait faire du syndicalisme ? Les trois autres syndicats signataires de l'accord n'on rien fait non plus pour que ce comité se réunissent. Le cadre départemental qui supervise notre bureau m'avait promis à plusieurs reprises qu'il réunirait ce comité de suivi; une fois l'accord signé il a évité tout contact avec moi. Ce retournement est une agression morale contre moi et les collègues du bureau, couvert par tous les syndicats signataires de l'accord.
Durant cette négociation, j'avais insisté sur deux points important, le nombre de rouleurs(remplaçants des titulaires de tournée lorsqu'ils sont en congé), et l'égalisation des tournées(temps de travail indentique pour chaque facteur). Bien évidemment on n'a pas eu satisfaction, et les syndicats signataires de l'accord n'ont rien fait, puisque essayer d'obtenir ce que nous avions négocié, c'est faire du syndicalisme.
Les collègues facteurs ne sont pas en reste eux non plus. Ils sont les premiers à se plaindre des décisions de la direction, mais lorsque je leur propose de signer une pétitions pour réclamer le paiement des heures supplémentaires...tous les collègues refusent ! Ils ne comprennent pas non plus l'intérêt d'une carte de pointage pour limiter les abus de plus en plus nombreux d'heures supplémentaires non rémunérées. Faire du syndicalisme pour eux est une chose incompréhensible.
Il est des attentes que certains facteurs voudraient bien voir réaliser. Il se trouve que les lois européennes sur le service universel n'imposent que cinq jours de distribution de courrier par semaine à l'opérateur chargé du service universel, il est donc tout à fait possible de ne pas travailler le samedi. Mais ce n'est même pas la peine d'y penser car tous les syndicats sont contre, en effet disent ils, ça supprimerait des tournées. Bien sûr, les coûts de distributions diminuerait, et ce serait possible de le faire sans aucun licenciement. Mais c'est plus intéressant pour les syndicats de se mêler de management en décidant à la place de la direction comment elle doit gagner de l'argent, plutôt que de faire du syndicalisme.
Mais que font donc les syndicats ? Ah, oui, ils protostent ! Ils protestent contre des principes. Par exemples tous les syndicats de la Poste proposent régulièrement des grèves contre la privatisation. Chacun sait trés bien qu'avec ou sans les grèves, la privatisation se faira car c'est une question politique. Les syndicats proposent donc de faire de la politique, c'est probablement beaucoup plus intéressant pour eux que de faire du syndicalisme. La pluspart des syndicats s'opposent aux restructurations et réorganisation souvent nécessaires pour s'adapter aux conditions futurs de concurrence, bien évidemment sans résultats, puisque c'est vouloir faire du management, c'est vouloir diriger l'entreprise à la place des directeurs. Ce qui est plus interessant pour les syndicats que de faire du syndicalisme. Ces même syndicats refusent que les facteurs déplacés à cause d'une restructuration recoivent des indemnités de déménagement ou des formation pour changer de spécialité car ce serait disent-ils aider l'entreprise à restructurer. Ils oublient de dire que ça les amènerait à faire du syndicalisme, ce qu'ils veulent surtout éviter. Le syndicat auqel j'adhère lui ne s'oppose pas au réorganisation, par contre, lorsque les engagements pris par la direction pour indemniser les facteurs ne sont pas respectés, il ne fait rien. S'il faisait quelque chose, il fairait du syndicalisme, ce qu'il ne veut surtout pas faire. Au lieu de ça, ils préfèrent agesser moralement les hommes politiques, les dirigeant de l'entreprise, et aussi...les employés !
La France a le taux de suicide et la consommation de psychotropes la plus imporante au monde. Mais ce n'est pas la France qui va mal; ce sont les français. Parce qu'ils le veulent bien
14:57 Publié dans syndicalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : syndicalisme