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démocratie directe - Page 4

  • Voiture électrique: comment s'électrocuter avec.

    Le réchauffement climatique du aux émissions à effet de serre s'emballe, les émissions augmentent , tout comme l'inquiétude d'un avenir sombre dont l'homme est seul responsable. Pour répondre à cette inquiétude, il convient de faire baisser les émissions de gaz à effet de serre. 

    C'est ainsi que l'avenir s'est inscrit dans la loi européenne : pas de salut en dehors de la voiture électrique pour sauver l'humanité d'un réchauffement climatique catastrophique.

    Les émissions de co2 dues à la voiture sont de 6 % du total. Parallèlement à ça, il n'y a aucun projet sérieux, ni contraignant, qui concerne les gaz à effet de serre émis par les avions, ni par les bateaux, ni par les centrales électriques, les industries chimiques, les chaufferies industrielles, collectives ou privées, les activités agricoles. Enfin bref, cette loi ne concerne pas les 94 % d'émissions de gaz responsables du réchauffement climatique. Cette loi ne concerne pas non plus, les pays non européens qui émettent juste 93 % du total mondial des émission de gaz à effet de serre.

    Je ne ressens pas le besoin de consulter un expert ou un prophète pour prévoir que la totalité des émissions de gaz à effet de serre de la planète va continuer à augmenter. Il est bien clair, que cette loi, n'est pas conçue pour lutter contre le réchauffement climatique. 

    Alors arrivé à ce point là du raisonnement, certain diraient : "mais, on ne peut pas attendre ! Il y a urgence ! Et l'Europe serait l'exemple à suivre pour le monde entier, l'exemple qui sauvera la planète!".

    La voiture à carburant liquide, c'est une source importante de possibilité de déplacement, rapide ,économique, fiable et pratique. Elle permet dans bien des cas un accès à des activités professionnelles, personnelles ou familiales, de loisirs, pour des trajets courts, comme des trajets longs. 

    Quant à la voiture électrique, elle est couteuse, peu fiable, difficile à utiliser pour des trajets longs, compliquée et dangereuse à recharger. Se précipiter vers la voiture électrique, c'est d'abord mettre en difficulté le citoyen européen ordinaire, car à n'en pas douter, les individus les plus fortunés ne manqueront pas de moyens pour contourner cette contrainte. La voiture électrique, c'est mettre l'Europe dans une dépendance économique dangereuse vis à vis de la Chine, qui n'est pas un partenaire économique fiable, ni honnête. De plus une voiture électrique n'est écologique que si elle ne nécessite que peu de batteries, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui.

    D'autre part, rien n'empêche de fabriquer des carburants de synthèses qui n'utilisent pas de source fossiles. Ils sont juste plus chers. Il suffirait de les mettre en place progressivement. En empêchant les citoyens d'utiliser des voitures à carburant liquide, les dirigeants politiques restreignent la liberté des citoyens, cassent l'économie européenne, tout en offrant à la Chine, un boulevard lui permettant ainsi de mettre le monde entier à sa botte. La Chine, ce pays qui permettra toujours à la Russie de torturer les Ukrainiens et de menacer les européens, autant qu'elle le souhaite.

    Il est bien évident qu'en mesurant en tout lieu et en tout temps, les émissions réellement émises; en taxant la totalité des utilisations d'énergie fossiles, on verrait cette utilisation baisser, au profits de carburant de synthèses, biologiques ou pas. Cette taxation créerait des recettes fiscales, et assurerait un développement économique durable, tout en assurant la compétitivité de l'Europe, et le maintient de la liberté de déplacement des citoyens.

    Il est facile de remarquer qu'on n'en prends pas le chemin. En demeurant aussi passif et fatalistes, les citoyens, pour supporter leur existence, n'auront d'autre choix que de devenir masochiste, pour voir leurs élus continuer leur politique sadique, inefficace et dangereuse. Pendant que le reste du monde se moquera bien des européens qui marchent à l'envers, aussi bien au niveau économique, politique qu'écologique. 

    Il ne restera bientôt plus aux européens qu'à écouter, éberlués, leurs dirigeants fiers et sûrs d'eux-mêmes, se venter d'être les meilleurs dirigeants du monde, parce qu'ils se dévouent corps et âme à sauver la planète. Et moi, il ne me restera plus qu'une chose à dire :''bien heureux ceux qui y croient". Dans le même temps, ces élus pourront vivre avec exaltation, cette ruine et les promesses de guerre qu'ils créent

  • Mais...que fait la Chine ?

    La fascination du plus fort est une malheureuse constante de l'humanité. Dans mon enfance, le pouvoir se répartissait au niveau mondial entre la Russie et les Etats-Unis. La France se concevait comme un juste milieux, un havre d'équilibre entre le capitalisme et le communiste, entre le patron et l'ouvrier. Un petit paradis discret dans lequel on se fâche comme on se réconcilie. Bien sur, beaucoup de choses fonctionnaient mal, mais on aimait notre société, on la croyait bonne.

    Jeune homme, la fascination du plus fort était toujours d'actualité, mais le plus fort était tout seul : une Amérique triomphante imposait tous ses critères culturels. Jusqu'aux plus ridicules. Les Etats-Unis sont un pays violent : 7 fois plus de morts violente par habitant, 7 fois plus de prisonniers par habitants, une espérance de vie, une religiosité, des inégalités, un racisme et des déficits publiques et commerciaux, dignes d'un pays en développement. C'est ainsi que menée par des élites et une population  fascinées par ce bel exemples, on a pu voir les prisons se remplir comme jamais, avec une délinquance en hausse: la médecine française arrêter sa progression, les médias zoomer sur le moindre progrès de la religiosité, un racisme qui a pris racine sur la place politique, les cadeaux aux plus favorisés se multiplier, un pessimisme et une méfiance des citoyens envers les élites augmenter dramatiquement. C'est ainsi qu'on est devenu malheureux et pessimiste de n'être jamais assez américain.

    Aujourd'hui, en France comme dans le monde, les regards se tournent vers la Chine. C'est le pays qui monte, qui exporte, qui s'arme. C'est le pays qui fascine, c'est le pays fort. C'est donc le pays qu'il faut copier, même dans ses plus évident errements. La Chine, c'est un pays qui surveille ses citoyens, les contrôle, les emprisonne, les exécute à son envie. Ainsi lorsque la covid 19 s'est présenté, le pouvoir politique chinois a réagi comme il en a l'habitude : avec violence envers ses citoyens, sans discernement, sans s'embarrasser des droits humains, sans humanité. 

    Cela faisait plus d'un siècle qu'on ne faisait plus de quarantaine en France et en Europe. La dernière quarantaine en France et en Europe a eu lieu avec la grippe Espagnole. Le résultat c'est entre 10 et 20 millions de morts. Il est facile de constater l'inefficacité de cette méthode...C'est facile rationnellement, mais ce n'est facile de comprendre ça, ni par la sociabilité, ni par la grégarité.

    Nous voilà donc revenu en mettant nôtre rationalité de côté; grâce à notre sociabilité, notre grégarité et à la Chine; un siècle en arrière. Nous voilà revenu à une époque où la vie d'un individu ne valait pas grand chose, surtout comparée à celle d'un pays centralisé, jacobin, où les dirigeants valent plus que les autres. Nous voilà revenu à une époque d'inefficacité, et de mortalité digne d'une société arriérée.

    Il est toutefois bien certain que la question politique qui va hanter les esprits, et rester pour un bon bout de temps encore d'une brûlante actualité : mais....que fait la Chine ?

  • Covid 19, une guerre contre le virus ?

    Le sujet est inévitable. La France est à l'arrêt. Je fais partie des français les plus durement impacté par la décision présidentielle, mon revenu s'effondre, tandis que les factures continuent de tomber.

    Il a suffit d'un simple discours présidentiel pour cloîtrer les français chez eux, pour mettre à genoux l'économie. Le voilà devenu plus efficace qu'un pape ou qu'un tyran. Qu'est-il arrivé aux français pour se laisser conduire comme des moutons dans une attitude aussi absurde qu'humiliante ? Cette régression de la société est aussi tragique que comique, et je ne sais si je dois pleurer ou si je dois rire. De nos jours, la plus violente attitude du pouvoir politique envers ses citoyens, c'est de les enfermer. Empêcher quelqu'un d'accéder à son travail, à ses loisirs, visiter ses proches, c'est une violation de droits constitutionnels les plus élémentaires . Empêcher quelqu'un de vivre comme il le souhaite, c'est le punir; c'est le désigner comme coupable. Supprimer les libertés, c'est prouver la toute puissance de l'état sur ses citoyens. Des citoyens chosifiés, animalisés, infériorisés.

    Cette attitude est absurde, aussi bien de la part de français soumis et fatalistes que d'un président gourou et dominateur. L'histoire nous a appris qu'aucune interdiction de circulation de travail et de loisir n'a lutté efficacement contre un virus. En effet, ou bien cette interdiction n'est pas appliquée, et dans ce cas là, elle n'a d'autre efficacité que de transformer une épidémie foudroyante en épidémie endémique, sans en aucune façon avoir diminué le nombre de mort. Ou bien cette interdiction est efficacement appliquée...et la première conséquence est l'empêchement d'accéder aux soins et à la prévention, et dans ce cas non plus elle ne fait pas diminuer le nombre de morts.

    J'ai juste envie de rire quand j'entends des journalistes et des hommes politiques parler du nombre de mort par le virus alors que les médecins sont empêchés de  travailler ou bien surbooké et donc inaccessibles pour les patients, quand la pagaille administrative est la plus totale, et qu'aucune information digne de ce nom ne circule, sauf de haut en bas, du président vers les français. Heureusement j'ai pu voir quelques articles de journalistes mettant un doute sur la réalité de ces chiffres.

    Mais le plus triste c'est l'absence générale de discours critique des politiques, des médias, comme des français. Auparavant ils obéissaient aux lois du seigneur par l'intermédiaire du pape, de leur curé, ou de leur roi, maintenant, ils obéissent aux lois de la république par l'intermédiaire de leur président et de leur gendarmes. 

    La France n'est bien sûr pas en guerre contre un virus, non, c'est simplement le pouvoir politique qui est en guerre contre les citoyens...et il a gagné.